45.10 L'Enfer est à leur trousses. Ce qu'ils auront acquis ne leur servira à rien, ni ce qu'ils auront pris comme protecteurs, en dehors d'Allah. Ils auront un énorme châtiment.
► Le vocable Eloah apparaît 40 fois dans le livre de Job (Voir Denise Masson, Le Coran et la révélation judéo-chrétienne. Études comparées, t. 1, Paris, A. Maisonneuve, 1958, p. 27). ► Selon la théorie documentaire, le Pentateuque (c'est-à-dire les cinq premiers livres de la Bible attribués à Moïse) résulte de la fusion de quatre sources, dont les plus anciennes sont :
1) La source YAHVISTE (J), fixée à Jérusalem vraisemblablement au Xe siècle avant notre ère, où Dieu est nommé YHVH.
2) Et la source ELOHISTE (E), fixée au royaume d'Israël entre le VIIIe et le IXe siècle avant notre ère, où Dieu est nommé Elohim, pluriel de majesté d'Eloah. Nom d'origine akkadienne (ilu), datant du quatrième millénaire avant notre ère. Voir à ce propos Richard Friedman, Qui a écrit la Bible ?, Paris, Exergue, 2012.
45.12 Allah, c'est Lui qui vous a assujetti la mer, afin que les vaisseaux y voguent, par Son ordre, et que vous alliez en quête de Sa grâce afin que vous soyez reconnaissants.
► Le vocable Eloah apparaît 40 fois dans le livre de Job (Voir Denise Masson, Le Coran et la révélation judéo-chrétienne. Études comparées, t. 1, Paris, A. Maisonneuve, 1958, p. 27). ► Selon la théorie documentaire, le Pentateuque (c'est-à-dire les cinq premiers livres de la Bible attribués à Moïse) résulte de la fusion de quatre sources, dont les plus anciennes sont :
1) La source YAHVISTE (J), fixée à Jérusalem vraisemblablement au Xe siècle avant notre ère, où Dieu est nommé YHVH.
2) Et la source ELOHISTE (E), fixée au royaume d'Israël entre le VIIIe et le IXe siècle avant notre ère, où Dieu est nommé Elohim, pluriel de majesté d'Eloah. Nom d'origine akkadienne (ilu), datant du quatrième millénaire avant notre ère. Voir à ce propos Richard Friedman, Qui a écrit la Bible ?, Paris, Exergue, 2012.
45.13 Et Il vous a assujetti tout ce qui est dans les cieux et sur la terre, le tout venant de Lui. Il y a là des signes pour des gens qui réfléchissent.
45.14 Dis à ceux qui ont cru de pardonner à ceux qui n'espèrent pas les jours d'Allah afin qu'Il rétribue [chaque] peuple pour les acquis qu'ils faisaient.
► Le vocable Eloah apparaît 40 fois dans le livre de Job (Voir Denise Masson, Le Coran et la révélation judéo-chrétienne. Études comparées, t. 1, Paris, A. Maisonneuve, 1958, p. 27). ► Selon la théorie documentaire, le Pentateuque (c'est-à-dire les cinq premiers livres de la Bible attribués à Moïse) résulte de la fusion de quatre sources, dont les plus anciennes sont :
1) La source YAHVISTE (J), fixée à Jérusalem vraisemblablement au Xe siècle avant notre ère, où Dieu est nommé YHVH.
2) Et la source ELOHISTE (E), fixée au royaume d'Israël entre le VIIIe et le IXe siècle avant notre ère, où Dieu est nommé Elohim, pluriel de majesté d'Eloah. Nom d'origine akkadienne (ilu), datant du quatrième millénaire avant notre ère. Voir à ce propos Richard Friedman, Qui a écrit la Bible ?, Paris, Exergue, 2012.
45.16 Nous avons effectivement apporté aux Enfants d'Israël le Livre, la sagesse, la prophétie, et leur avons attribué de bonnes choses, et les préférâmes aux autres humains [leurs contemporains];
45.17 Et Nous leur avons apporté des preuves évidentes de l'Ordre. Ils ne divergèrent qu'après que la science leur fut venue, par agressivité entre eux. Ton Seigneur décidera parmi eux, au Jour de la Résurrection, sur ce en quoi ils divergeaient.
45.18 Puis Nous t'avons mis sur la voie de l'Ordre [une religion claire et parfaite]. Suis-la donc et ne suis pas les passions de ceux qui ne savent pas.
45.19 Il ne te seront d'aucune utilité vis-à-vis d'Allah. Les injustes sont vraiment alliés les uns des autres; tandis qu'Allah est le Protecteur des pieux.
► Le vocable Eloah apparaît 40 fois dans le livre de Job (Voir Denise Masson, Le Coran et la révélation judéo-chrétienne. Études comparées, t. 1, Paris, A. Maisonneuve, 1958, p. 27). ► Selon la théorie documentaire, le Pentateuque (c'est-à-dire les cinq premiers livres de la Bible attribués à Moïse) résulte de la fusion de quatre sources, dont les plus anciennes sont :
1) La source YAHVISTE (J), fixée à Jérusalem vraisemblablement au Xe siècle avant notre ère, où Dieu est nommé YHVH.
2) Et la source ELOHISTE (E), fixée au royaume d'Israël entre le VIIIe et le IXe siècle avant notre ère, où Dieu est nommé Elohim, pluriel de majesté d'Eloah. Nom d'origine akkadienne (ilu), datant du quatrième millénaire avant notre ère. Voir à ce propos Richard Friedman, Qui a écrit la Bible ?, Paris, Exergue, 2012.
Denise Masson in Le Coran I, Paris, Gallimard, coll. Folio, p. C:
CRAINTE DE DIEU. Le verbe [arabe] 'attaqua est un terme coranique que l'on rendra par « craindre Dieu », même lorsque, et c'est le cas le plus fréquent, le nom de « Dieu » est seulement sous-entendu. (Ce verbe s'emploie aussi dans le sens de : « avoir peur », redouter quelque chose ou quelqu'un). — 'al muttaquùn sont donc ceux qui craignent Dieu d'une crainte révérencielle; les pieux croyants qui observent la Loi et qui s'abstiennent du mal en vue de la vie future. La crainte révérencielle de Dieu embrasse toute la religion d'Israël. Elle inspire la piété du croyant, son obéissance à la Loi, sa fidélité et son amour de Dieu (Deutéronome. 10, 12-13). Elle est le commencement de la sagesse, de la connaissance et le fondement de la religion (Proverbes 1, 7; Psaumes 111, 10, etc.); elle est accompagnée de confiance en Dieu (Ecclésiastique 2, 7-18).
Observation
Pour consulter les versets bibliques contenant le mot hébreu Crainte / יראה cliquer ICI Pour consulter les versets bibliques contenant le mot français Crainte de Dieucliquer ICI
SegmentPieux (craignants Dieu)
3/3
Source : Rabbinique
Pour consulter les sources rabbiniques en hébreu relatives à l'expression « Crainte de Dieu » in Otzar Ha-agadaveuillez cliquer ICI
CRAINTE DE DIEU.
וא"ר חלבו אמר רב הונא כל אדם שיש בו יראת שמים דבריו נשמעין שנאמר סוף דבר הכל נשמע את האלהים ירא וגו
Talmud de Babylone traité Berakhot 6b.
R. Helbo a dit, au nom de R. Houna: « Quiconque porte en lui la crainte du Ciel, ses paroles seront écoutées : On écoutera la fin du discours de celui qui craint Dieu et observe ses commandements. C'est là tout l'homme (Ecc. 12, 5). »
Traduction Aggadoth du Talmud de Babylone, Lagrasse, Verdier, 1982, p. 55.