5.20 (Souvenez- vous) lorsque Moïse dit à son peuple: "Ô, mon peuple! Rappelez-vous le bienfait d´Allah sur vous, lorsqu´Il a désigné parmi vous des prophètes. Et Il a fait de vous des rois. Et Il vous a donné ce qu´Il n´avait donné à nul autre aux mondes.
► Le vocable Eloah apparaît 40 fois dans le livre de Job (Voir Denise Masson, Le Coran et la révélation judéo-chrétienne. Études comparées, t. 1, Paris, A. Maisonneuve, 1958, p. 27). ► Selon la théorie documentaire, le Pentateuque (c'est-à-dire les cinq premiers livres de la Bible attribués à Moïse) résulte de la fusion de quatre sources, dont les plus anciennes sont :
1) La source YAHVISTE (J), fixée à Jérusalem vraisemblablement au Xe siècle avant notre ère, où Dieu est nommé YHVH.
2) Et la source ELOHISTE (E), fixée au royaume d'Israël entre le VIIIe et le IXe siècle avant notre ère, où Dieu est nommé Elohim, pluriel de majesté d'Eloah. Nom d'origine akkadienne (ilu), datant du quatrième millénaire avant notre ère. Voir à ce propos Richard Friedman, Qui a écrit la Bible ?, Paris, Exergue, 2012.
5.21 Ô mon peuple! Entrez dans la terre sainte qu´Allah vous prescrite. Et ne revenez point sur vos pas [en refusant de combattre] car vous retourneriez perdants.
► Le vocable Eloah apparaît 40 fois dans le livre de Job (Voir Denise Masson, Le Coran et la révélation judéo-chrétienne. Études comparées, t. 1, Paris, A. Maisonneuve, 1958, p. 27). ► Selon la théorie documentaire, le Pentateuque (c'est-à-dire les cinq premiers livres de la Bible attribués à Moïse) résulte de la fusion de quatre sources, dont les plus anciennes sont :
1) La source YAHVISTE (J), fixée à Jérusalem vraisemblablement au Xe siècle avant notre ère, où Dieu est nommé YHVH.
2) Et la source ELOHISTE (E), fixée au royaume d'Israël entre le VIIIe et le IXe siècle avant notre ère, où Dieu est nommé Elohim, pluriel de majesté d'Eloah. Nom d'origine akkadienne (ilu), datant du quatrième millénaire avant notre ère. Voir à ce propos Richard Friedman, Qui a écrit la Bible ?, Paris, Exergue, 2012.
5.22 Ils dirent: "Ô Moïse, il y a là un peuple de géants. Jamais nous n´y entrerons jusqu´à ce qu´ils en sortent. S´ils en sortent, alors nous y entrerons".
5.23 Deux hommes d´entre ceux qui craignaient Allah et qui étaient comblés par Lui de bienfaits dirent: "Entrez chez eux par la porte; puis quand vous y serez entrés, vous serez sans doute les dominants. Et c´est en Allah qu´il faut avoir confiance, si vous êtes croyants".
► Le vocable Eloah apparaît 40 fois dans le livre de Job (Voir Denise Masson, Le Coran et la révélation judéo-chrétienne. Études comparées, t. 1, Paris, A. Maisonneuve, 1958, p. 27). ► Selon la théorie documentaire, le Pentateuque (c'est-à-dire les cinq premiers livres de la Bible attribués à Moïse) résulte de la fusion de quatre sources, dont les plus anciennes sont :
1) La source YAHVISTE (J), fixée à Jérusalem vraisemblablement au Xe siècle avant notre ère, où Dieu est nommé YHVH.
2) Et la source ELOHISTE (E), fixée au royaume d'Israël entre le VIIIe et le IXe siècle avant notre ère, où Dieu est nommé Elohim, pluriel de majesté d'Eloah. Nom d'origine akkadienne (ilu), datant du quatrième millénaire avant notre ère. Voir à ce propos Richard Friedman, Qui a écrit la Bible ?, Paris, Exergue, 2012.
5.24 Ils dirent: "Moïse! Nous n´y entrerons jamais, aussi longtemps qu´ils y seront. Va donc, toi et ton Seigneur, et combattez tous deux. Nous restons là où nous sommes".
5.26 Il (Allah) dit: "Eh bien, ce pays leur sera interdit pendant quarante ans, durant lesquels ils erreront sur la terre. Ne te tourmente donc pas pour ce peuple pervers".
► Le vocable Eloah apparaît 40 fois dans le livre de Job (Voir Denise Masson, Le Coran et la révélation judéo-chrétienne. Études comparées, t. 1, Paris, A. Maisonneuve, 1958, p. 27). ► Selon la théorie documentaire, le Pentateuque (c'est-à-dire les cinq premiers livres de la Bible attribués à Moïse) résulte de la fusion de quatre sources, dont les plus anciennes sont :
1) La source YAHVISTE (J), fixée à Jérusalem vraisemblablement au Xe siècle avant notre ère, où Dieu est nommé YHVH.
2) Et la source ELOHISTE (E), fixée au royaume d'Israël entre le VIIIe et le IXe siècle avant notre ère, où Dieu est nommé Elohim, pluriel de majesté d'Eloah. Nom d'origine akkadienne (ilu), datant du quatrième millénaire avant notre ère. Voir à ce propos Richard Friedman, Qui a écrit la Bible ?, Paris, Exergue, 2012.
5.27 Et raconte-leur en toute vérité l´histoire des deux fils d´Adam. Les deux offrirent des sacrifices; celui de l´un [Abel] fut accepté et celui de l´autre [Caïn] ne le fut pas. Celui-ci dit: "Je te tuerai sûrement". "Allah n´accepte, dit l´autre, que de la part des pieux".
► Le vocable Eloah apparaît 40 fois dans le livre de Job (Voir Denise Masson, Le Coran et la révélation judéo-chrétienne. Études comparées, t. 1, Paris, A. Maisonneuve, 1958, p. 27). ► Selon la théorie documentaire, le Pentateuque (c'est-à-dire les cinq premiers livres de la Bible attribués à Moïse) résulte de la fusion de quatre sources, dont les plus anciennes sont :
1) La source YAHVISTE (J), fixée à Jérusalem vraisemblablement au Xe siècle avant notre ère, où Dieu est nommé YHVH.
2) Et la source ELOHISTE (E), fixée au royaume d'Israël entre le VIIIe et le IXe siècle avant notre ère, où Dieu est nommé Elohim, pluriel de majesté d'Eloah. Nom d'origine akkadienne (ilu), datant du quatrième millénaire avant notre ère. Voir à ce propos Richard Friedman, Qui a écrit la Bible ?, Paris, Exergue, 2012.
Denise Masson in Le Coran I, Paris, Gallimard, coll. Folio, p. C:
CRAINTE DE DIEU. Le verbe [arabe] 'attaqua est un terme coranique que l'on rendra par « craindre Dieu », même lorsque, et c'est le cas le plus fréquent, le nom de « Dieu » est seulement sous-entendu. (Ce verbe s'emploie aussi dans le sens de : « avoir peur », redouter quelque chose ou quelqu'un). — 'al muttaquùn sont donc ceux qui craignent Dieu d'une crainte révérencielle; les pieux croyants qui observent la Loi et qui s'abstiennent du mal en vue de la vie future. La crainte révérencielle de Dieu embrasse toute la religion d'Israël. Elle inspire la piété du croyant, son obéissance à la Loi, sa fidélité et son amour de Dieu (Deutéronome. 10, 12-13). Elle est le commencement de la sagesse, de la connaissance et le fondement de la religion (Proverbes 1, 7; Psaumes 111, 10, etc.); elle est accompagnée de confiance en Dieu (Ecclésiastique 2, 7-18).
Observation
Pour consulter les versets bibliques contenant le mot hébreu Crainte / יראה cliquer ICI Pour consulter les versets bibliques contenant le mot français Crainte de Dieucliquer ICI
SegmentPieux (craignants Dieu)
3/3
Source : Rabbinique
Pour consulter les sources rabbiniques en hébreu relatives à l'expression « Crainte de Dieu » in Otzar Ha-agadaveuillez cliquer ICI
CRAINTE DE DIEU.
וא"ר חלבו אמר רב הונא כל אדם שיש בו יראת שמים דבריו נשמעין שנאמר סוף דבר הכל נשמע את האלהים ירא וגו
Talmud de Babylone traité Berakhot 6b.
R. Helbo a dit, au nom de R. Houna: « Quiconque porte en lui la crainte du Ciel, ses paroles seront écoutées : On écoutera la fin du discours de celui qui craint Dieu et observe ses commandements. C'est là tout l'homme (Ecc. 12, 5). »
Traduction Aggadoth du Talmud de Babylone, Lagrasse, Verdier, 1982, p. 55.
► Le vocable Eloah apparaît 40 fois dans le livre de Job (Voir Denise Masson, Le Coran et la révélation judéo-chrétienne. Études comparées, t. 1, Paris, A. Maisonneuve, 1958, p. 27). ► Selon la théorie documentaire, le Pentateuque (c'est-à-dire les cinq premiers livres de la Bible attribués à Moïse) résulte de la fusion de quatre sources, dont les plus anciennes sont :
1) La source YAHVISTE (J), fixée à Jérusalem vraisemblablement au Xe siècle avant notre ère, où Dieu est nommé YHVH.
2) Et la source ELOHISTE (E), fixée au royaume d'Israël entre le VIIIe et le IXe siècle avant notre ère, où Dieu est nommé Elohim, pluriel de majesté d'Eloah. Nom d'origine akkadienne (ilu), datant du quatrième millénaire avant notre ère. Voir à ce propos Richard Friedman, Qui a écrit la Bible ?, Paris, Exergue, 2012.
5.29 Je veux que tu partes avec le péché de m´avoir tué et avec ton propre péché: alors tu seras du nombre des gens du Feu. Telle est la récompense des injustes.